Connaissez vous cela ?
Je connais effectivement cette théorie astrologique selon laquelle entre le signe zodiacal de la Balance et du scorpion, il y aurait un autre signe astrologique nommé le Serpentaire.
Cette zone du Zodiaque correspond à la constellation d’Ophiuchus. Il est vrai que de nos jours en astrologie, nous ne comptons pas cette constellation comme étant un signe zodiacal à part entière, ce qui n’était pas le cas avant la venue du Christianisme.
La culture chrétienne est faite d’une véritable unité au niveau des chiffres, douze apôtres, douze tribus d’Israël, etc. etc.…Il y a encore aujourd’hui quelques astrologues qui s’intéressent à cette notion de treizième signe, qui y sont venus en faisant des recherches personnelles, comme la plupart des astrologues en font tout naturellement.
J’ai connu des astrologues qui tiennent compte du Serpentaire, et d’autres qui se basent sur la méthodologie « classique » des douze signes, et je dois vous dire que ceux qui étaient partisans du concept des treize signes n’étaient pas forcément les meilleurs astrologues.
On a tendance à croire que ceux qui savent beaucoup de choses sur les différentes anecdotes de l’histoire, qui ont une grande culture dans les domaines de l’ésotérisme sont forcément très compétents en consultation de voyance ou d’astrologie, mais il faut savoir que c’est très loin d’être automatique.
Pour en revenir à votre question, il faut savoir que le serpentaire rejoint la grande majorité des qualités, défauts, tempérament inhérents aux Scorpions, et surtout que l’astrologie classique avec ses douze signes se révèle d’une étonnante exactitude, même pour les natifs qui correspondent au fameux signe du Serpentaire.
La seule différence réside dans le fait que les natifs du Serpentaire étaient autrefois interprétés comme étant des personnes qui prennent plaisir à nuire, à faire le mal. A partir de la, je comprends mieux en effet que ce signe ne figure plus dans l’astrologie classique, parce qu’il soulève la question essentielle, à savoir y a-t-il des signes bons ou mauvais ; nous savons bien que cette distinction serait arbitraire car le choix moral appartient à tous les signes confondus.